Votre relation conjugale connait une crise mais vous pensez que vous avez une chance de la surmonter ? Contactez-nous et nous rédigerons pour vous un accord de “SHALOM BAYIT / DIVORCE”, ce qui vous permettra, d’une part, de donner à votre relation une réelle opportunité de surmonter cette crise et, d’autre part, si vous décidez finalement de divorcer, vous disposerez déjà d’un accord de divorce complet.
Dans de nombreux cas, même lorsqu’une relation de couple traverse une crise grave, les conjoints ne sont pas certains de leur volonté de divorcer. Souvent, l’un ou l’autre craint pour ses intérêts sur le plan économique, ce qui empêche toute possibilité de surmonter la crise. Conclure un accord de “SHALOM BAYIT / DIVORCE” est la solution idéale dans une telle situation.
Cet accord se scinde en deux parties :
La première partie du contrat traite du shalom bayit, elle définit les actions que le couple va effectuer pour rétablir sa relation et pour une certaine période (dans ce contexte, les parties s’engagent généralement à rechercher un traitement conjugal). Cette section inclura également une référence au comportement économique au cours de la période définie, par exemple, si le couple utilise le compte joint, quel sera le sort des biens et de l’argent accumulés au cours de cette période si le shalom bayit échoue, etc.
Les autres questions régies par un accord de shalom bayit peuvent être en autres les suivantes : déterminer la présence du couple à la maison, la répartition des tâches ménagères, les questions relatives aux enfants, organiser la gestion des affaires financières, déterminer le mécanisme décisionnel, définir les relations avec les parents et les connaissances, organiser la vie personnelle des conjoints.
La seconde partie concerne l’accord de divorce qui prendra effet si l’un des conjoints souhaite se séparer.
Comment un tel accord peut-il aider les couples en instance de divorce ?
Un accord de “SHALOM BAYIT / DIVORCE” a des avantages notables. Tout d’abord, le couple a une réelle opportunité de reconstruire sa relation, sans crainte d’intérêts financiers ou autres. Il n’est pas nécessaire d’expliquer l’importance que revêt une telle opportunité, à la fois pour le couple lui-même, qui n’a pas à se séparer alors qu’il existe encore un désir de partager une vie commune et pour les enfants, pour qui il est préférable de grandir dans une famille unie.
Deuxièmement, si la tentative de réconciliation échouait, le couple pourrait faire valoir l’accord de divorce qui aura été au préalable homologué devant les tribunaux judiciaires. En effet, un accord de “SHALOM BAYIT/ DIVORCE” exige d’être homologué devant le tribunal de la famille ou le tribunal rabbinique.
Troisièmement, il est plus aisé d’organiser un accord qui touche à la propriété, à la garde des mineurs et à la pension alimentaire lorsqu’il existe encore dans le couple un niveau de confiance élevé.
Cependant, il convient de noter que les dispositions relatives à la propriété ne donneront aucun avantage à la partie qui ouvrira rapidement les procédures, afin de conduire à un véritable shalom bayit.